Qu’ont en commun Léon Gambetta, Jean Zay, Pierre Brossolette, Victor Schoelcher et Joséphine Baker ? Ils sont tous entrés au Panthéon, ce temple républicain et laïc affecté à la mémoire des valeurs exemplaires de l’unité nationale.
Ce n’est pas tout. Ils étaient tous francs-maçons. Parmi les 81 personnalités inhumées au Panthéon (hors panthéonisations collectives), 37 sont des francs-maçons. Tous sont des exemples de vertus politique, militaire, scientifique et de patriotisme.
Certains d’entre eux ne sont que des dignitaires du Premier Empire inhumés par décret impérial de Napoléon Ier, d’autres ont été panthéonisés par la Patrie reconnaissante (avec ou sans translation des cendres*), honorés au Panthéon mais leurs cendres reposent ailleurs, un a été inhumé sans panthéonisation et quelques autres ont été retirés du Panthéon.
(*Vocable funéraire pour désigner la dépouille du défunt crématisée ou non)
Pour en savoir plus sur ces francs-maçons du Panthéon, j’ai eu le plaisir de rencontrer et d’échanger avec Jean-François Decraene, auteur du « Dictionnaire des gloires du Panthéon ». Je vous recommande vivement son livre pour tout savoir sur l’histoire de ce monument historique et les personnalités qui sont honorées au Panthéon.
Je me suis aussi demandé comment décide-t-on une panthéonisation ?
Les francs-maçons illustres du Panthéon
Pour découvrir les caveaux de ces grandes personnalités, il vous faudra descendre dans la crypte du Panthéon, véritable sanctuaire national, à l’image de l’abbaye de Westminster en Angleterre ou des mémoriaux autour du Mall à Washington qui honorent les pères fondateurs des États-Unis d’Amérique.
Le Panthéon compte 37 francs-maçons, parmi lesquels 17 panthéonisés -inhumés avec ou sans translation des cendres, 13 dignitaires de l’Empire– inhumés par décret impérial, 2 honorés au Panthéon mais leurs cendres reposent ailleurs (Gilbert du Montier, Marquis de La Fayette et Pierre-Simon de Laplace), 1 inhumé sans panthéonisation (Marc Schœlcher) et 4 retirés du Panthéon.
Parmi les francs-maçons panthéonisés ou dignitaires de l’Empire :
· 4 francs-maçons de la loge Les Neuf Sœurs : François-Marie Arouet (dit Voltaire) et Marie-Jean-Antoine-Nicolas de Caritat marquis de Condorcet (tous deux panthéonisés). Pierre-Jean Georges comte Cabanis et Jean-Nicolas comte Desmeunier (dignitaires de l’Empire)
· 2 francs-maçons de la loge La Candeur : Antoine-César Choiseul duc de Praslin (Grand Administrateur du Grand Orient de France, GODF) et Gabriel-Louis marquis de Coulaincourt (affilié à la loge Les Amis réunis), (dignitaires de l’Empire)
· 2 francs-maçons de la loge Saint-Jean d’Ecosse du Contrat Social : Théophile Malo Corret de la Tour d’Auvergne (panthéonisé) et Hyacinthe-Hugues Timoléon comte de Cossé-Brissac (dignitaire de l’Empire)
· Auxquels s’ajoutent 22 autres initiés aux mystères de l’Art royal, parmi lesquels :
- 8 dignitaires de l’Empire : Louis-Antoine de Bougainville (initié à la loge de la marine L’Accord parfait à Brest), Pierre Garnier de la Boissière (GODF), Jean-Jacques Ignace Jacqueminot comte de Ham (loge Saint-Jean de Jérusalem à Nancy), Jean Lannes maréchal de France, duc de Montebello (administrateur, grand officier du GODF), Jean-Etienne Marie Portalis (Vénérable de la loge L’Etroite Persévérance des Amis réunis puis membre de la loge L’Amitié à Aix-en-Provence), Claude-Ambroise Régnier duc de Massa et Carrara (affilié à la loge L’Impériale des Francs-chevaliers à Paris et Grand Officier d’honneur du GODF), Jean-Pierre comte de Sers (Grand Hospitalier du GODF), Antoine Jean Marie comte Thévenard (loge L’Union, à Lorient)
- 14 panthéonisés : Joséphine Baker (loge La Nouvelle Jérusalem de la Grande Loge Féminine de France), Jean-Baptiste Baudin (loge Le Temple des Amis de l’Honneur Français, à Paris), Pierre Eugène Marcellin Berthelot (loge La Fraternité universelle au GODF, à Paris), Pierre Brossolette (loge Émile Zola de Grande Loge de France, affilié à la loge L’Aurore sociale du GODF à Troyes), Alexandre Dumas, Félix Éboué (initié à la loge La France Équinoxiale, à Cayenne, membre des loges Les Disciples de Pythagore de la Grande Loge de France et Maria Deraisme du Droit Humain), Léon Gambetta (loge La Réforme, à Marseille), Baptiste Henri Grégoire (dit l’abbé Grégoire, loge l’Harmonie, à Paris), Gaspard Monge comte de Péluse (dignitaire des loges militaires L’Union Parfaite à l’Orient du Corps royal du Génie, à Mézières, membre des Amis réunis à Paris et Chevalier Rose-Croix), Victor Schoelcher (initié à la loge Les Amis de la Vérité puis affilié aux loges Aide-toi, le ciel t’aidera ! et La Clémente Amitié puis La Justice du GODF), Jean Zay (initié à la loge Étienne Dolet, à Orléans, GODF), Maximilien Foy, François Larochefoucault-Liancourt, Jacques-Antoine Manuel.
4 francs-maçons ont été retirés du Panthéon : Louis Joseph d’Albert de Luynes (inhumé par décret impérial, député de la Noblesse aux États-généraux de 1789, sa famille a demandé à récupérer son corps en 1862. Il repose à présent dans la sépulture familiale à Dampierre (Yvelines). Il a été initié à la loge La Candeur et était Grand Officier du Grand Orient de France), Jean-Paul Marat (initié à la loge King Head Jeward à Londres), Honoré Gabriel Riqueti comte de Mirabeau et Louis-Michel Le Peletier de Saint-Fargeau (loge Phoenix du GODF).
Revenons sur le parcours exemplaire de quelques-uns d’entre eux et le contexte dans lequel ils sont entrés au Panthéon :
La chute de l’Empire en 1815 met un terme aux panthéonisations des grands dignitaires de l’administration impériale mais les régimes républicains puis le XIXe siècle ont continué de leur rendre un hommage posthume. C’est par exemple le cas avec le président de la République François Mitterrand qui fit transférer dans la crypte les cendres de l’abbé Grégoire, (symboliquement) celles du marquis de Condorcet et celles de Gaspard Monge, lors de la commémoration du bicentenaire de la Révolution en 1989.
Célèbre figure de la Révolution, l’abbé Grégoire s’était rallié au Tiers-État et à l’Assemblée constituante. Précurseur de la laïcité, il est le premier prêtre à voter en 1791 la Constitution civile du clergé, ce que l’église ne lui pardonnera jamais. Il a beaucoup oeuvré en faveur de l’émancipation des juifs. Il est partisan de l’abolition de la peine de mort (sans l’obtenir) et de l’abolition de l’esclavage qu’il obtient le 4 février 1794. Il est aussi l’auteur, avec Condorcet, de nombreux projets sur l’Instruction publique. Il fonde le Conservatoire national des arts et métiers et contribue à la création du Bureau des longitudes (académie composée d’astronomes, de géophysiciens et de physiciens issus d’institutions ou de laboratoires français ou étrangers). Il est nommé sénateur impérial en 1802, mais démissionne après le Concordat. A la fin de sa vie, il s’est engagé en faveur de l’émancipation civique des femmes.
Philosophe humaniste et mathématicien, le marquis de Condorcet s’est illustré pour avoir ardemment combattu, sans succès, en faveur de l’abolition de la peine de mort. Il obtient, aux côtés de l’abbé Grégoire, l’abolition de l’esclavage. Fervents défenseurs de la laïcité, ils proposent ensemble la séparation de l’Église et de l’État, qu’ils obtiennent en 1795. Député à l’Assemblée législative et à la Convention, Condorcet propose un projet de réforme de l’Instruction publique en 1792.
Quant à Gaspard Monge, géomètre et mathématicien, il est le fondateur de l’École polytechnique puis de l’École normale Supérieure (1808). Il participe à l’expédition organisée par Bonaparte en Égypte en 1798/1799. Il se distingue en réalisant un remarquable travail de fouilles sur le site des pyramides et devient président de l’Institut égyptien des sciences et des arts au Caire. Il est nommé ministre de la Marine et des Colonies de la Ière République, sénateur et grand officier de la Légion d’honneur en 1804.
En 2015, quatre Résistants entrent au Panthéon sur demande du président de la République François Hollande : deux femmes Geneviève de Gaulle-Antonioz et Germaine Tillion, deux francs-maçons Pierre Brossolette et Jean Zay.
Journaliste engagé et membre de la Ligue des droits de l’Homme, Pierre Brossolette, est né en 1903. En 1936, Léon Blum le charge de tenir la chronique de politique étrangère à la Radio nationale. Il y dénonça notamment les accords de Munich conclus avec Hitler en 1938 qui ne parviendront finalement pas à éviter la guerre. Mobilisé au début de la Seconde Guerre mondiale, il participe à la Bataille de France. Il est décoré de la Croix de guerre avec étoile de bronze en juillet 1940. Il entre dans la Résistance, rejoint le réseau du « Musée de l’Homme » et écrit le dernier numéro du journal Résistance avant son démantèlement. Il participe alors à la constitution de groupes de résistance dans la zone occupée et devient chef de la section presse et propagande de la CND-Confrérie Notre-Dame clandestine.
En septembre 1942, il rejoint les Forces Françaises Libres à Londres. Il est rapidement nommé à la tête des renseignements de la France métropolitaine, le BCRA (Bureau Central de Renseignements et d’Action) aux côtés d’André Dewavrin, dit le colonel Passy. Il est aussi le porte-voix à Londres des combattants de l’ombre et intervient à 38 reprises au micro de Radio-Londres.
En septembre 1943 il rentre en France puis reçoit l’ordre de revenir à Londres. Il est arrêté par la Gestapo à Audierne le 3 février 1944 dans le cadre d’un contrôle de routine, alors qu’il tentait de rejoindre l’Angleterre. Emprisonné à Rennes, il est reconnu comme Résistant et transféré au siège de la Gestapo à Paris.
Après deux jours et demi de torture, préférant la mort à la divulgation d’informations, il se suicide en se jetant dans le vide par une fenêtre du 84 avenue Foch en 1944 et meurt à l’hôpital le 22 mars. En hommage à Pierre Brossolette, un des grands temples de la Grande Loge de France porte son nom.
« Tout en lui respirait la noblesse de pensée, le désintéressement, la loyauté, le courage, l’amour du bien public », c’est ainsi que Léon Blum parlait de Jean Zay.
Avocat et journaliste, né en 1904, il s’engage très tôt en politique. Dès ses études secondaires, il adhère aux Jeunesses laïques et républicaines. À sa majorité, il s’inscrit au Parti radical. En 1932, il est élu député du Loiret. Le 4 juin 1936, il devient membre du gouvernement du Front populaire en tant que ministre de l’Éducation nationale et des Beaux-Arts. Il engage plusieurs réformes comme le prolongement de l’obligation scolaire de 13 à 14 ans.
Il est à l’origine de nombreuses institutions et événements comme le festival de Cannes, l’INA (L’Institut national de l’audiovisuel), le Musée d’art moderne, le CNRS (Centre national de la recherche scientifique), l’ENA (École nationale d’administration), le CROUS (Centre régional des œuvres universitaires et scolaires) et les bibliobus.
Au début de la Seconde Guerre mondiale, il démissionne du gouvernement pour rejoindre l’armée française. En juin 1940, avec plusieurs parlementaires dont Georges Mandel et Pierre Mendès-France, il embarque sur le Massilia pour rejoindre Casablanca en Afrique du Nord et poursuivre le combat mais il est arrêté le 15 août 1940.
Ramené en métropole, Jean Zay est interné à la prison militaire de Clermont-Ferrand. Le 4 octobre 1940, il est condamné comme officier pour désertion en présence de l’ennemi à la déportation à vie et à la dégradation militaire par le gouvernement de Vichy.
Dans sa prison de Riom, Jean Zay peut recevoir régulièrement son épouse et ses deux filles. Il poursuit son travail, préparant les réformes qu’il pense pouvoir mettre en oeuvre après la Libération. Il y rédige cette oeuvre majeure : Souvenirs et solitude.
Le 20 juin 1944, trois Miliciens, se faisant passer pour des Résistants, le font évader de prison en présentant un ordre de transfert pour Melun signé par le directeur de l’administration pénitentiaire. C’est un piège ! Les hommes au service du gouvernement du maréchal Pétain assassinent Jean Zay dans un bois, près d’une carrière, au lieu-dit Les Malavaux, dans la faille du Puits du diable, à Molles (Allier).
La dernière valeur exemplaire à entrer au Panthéon est Freda Josephine MacDonald dite Joséphine Baker qui est panthéonisée le 30 novembre 2021. Après Régis Debray en 2013, l’essayiste Laurent Kupferman avait relancé cette idée avec la pétition en ligne Osez Joséphine qui a recueilli près de 38 000 signatures.
Cette franc-maçonne de la Grande Loge Féminine de France, artiste de music-hall, Résistante durant la Deuxième Guerre mondiale est aussi une femme engagée contre le racisme et l’antisémitisme auprès de la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme) en France. Aux côtés de Martin Luther King aux USA, elle milite en faveur de l’égalité des droits civiques pour les Afro-Américains et les Latinos des États-Unis.
Joséphine Baker, c’est aussi cette « mère courage » avec sa tribu arc-en-ciel composée de douze enfants adoptés aux quatre coins du monde. Ce « Village du Monde, capitale de la Fraternité universelle » traduit son amour de l’Humanité et incarne son idéal universaliste humaniste de vivre ensemble dans la paix.
« Tous les hommes n’ont pas la même couleur, le même langage, ni les mêmes moeurs, mais ils ont le même coeur, le même sang, le même besoin d’amour. » Joséphine Baker
Elle est la vingtième femme à bénéficier des honneurs du Panthéon avec Berthe Wild – Albrecht (Résistante), Hélène Allatini, Marguerie Aron, Denyse Clairouin, Madeleine dite Marion Cormier, Geneviève de Gaulle-Antonioz (Résistante), Arthémise dite Annie Deguirmendjian-Shah-Vekil épouse Archambault de Monfort, Suzanne Simon-Gaffré, Olga Goutwein, Jacqueline Grüner, Arlette dite Hélène Humbert-La Roche , Odette Lenoël, Marietta Martin, Irène Némirowski, Émilie Tillion et Germaine Tillion (Résistantes), Marie-Hélène Wuilleumier, Marie Sklodwska-Curie (deux fois prix Nobel, physique et chimie), et Simone Jacob-Veil (femme politique, membre du Conseil constitutionnel puis de l’Académie française).
Comment décide t-on d’une panthéonisation ?
« Entrer au Panthéon », selon l’expression consacrée, est une tradition empruntée aux Égyptiens, qui a ensuite été reprise par les Grecs et les Romains. Pour ces civilisations, le Panthéon était la maison de tous les dieux (Pan = tout et théos = dieux) et « entrer au Panthéon », c’était se rapprocher des dieux.
C’est tout à fait différent pour le Panthéon parisien : le lieu honore les grands hommes/femmes de la Nation, la Patrie reconnaissant leurs qualités d’être des valeurs exemplaires de l’unité nationale. La Panthéonisation est une distinction laïque et morale pour mettre en lumière celles et ceux qui ont particulièrement honoré les valeurs de la France par leurs actions de leur vivant. Il n’y a donc qu’un seul critère pour être panthéonisé : être une valeur exemplaire de l’unité de la nation citoyenne.
Ainsi, le fait de reposer au Panthéon ne signifie pas obligatoirement d’avoir été panthéonisé. Pour cela, il faut un décret de panthéonisation de la patrie reconnaissante et que la famille du défunt donne son accord pour une translation éventuelle des cendres, du ou de la défunte.
L’autorité décisionnaire a évolué au cours du temps. Lors de la toute première panthéonisation, celle de Mirabeau le 4 avril 1791, c’est l’Assemblée Constituante (l’Assemblée Nationale de l’époque) qui en décide. Elle édicte qu’« il ne suffit pas d’une action, fût-elle la plus sublime de toute, c’est par une longue suite de pensées, d’actions, et d’ouvrages, c’est en quelque sorte par toute une vie d’homme, conçue et exécutée sur des grandes vues qu’on mérite le titre de Grand Homme ».
Pendant le Premier Empire, Napoléon 1er ne procède à aucune panthéonisation. Il affecte le monument au repos éternel des sénateurs, grands serviteurs de l’Empire.
Sous les IIIe et IVe Républiques, le choix revient de nouveau aux députés. Depuis la Ve République, en 1958, cette prérogative relève du pouvoir régalien du chef de l’État. Sa décision est ensuite mise en œuvre par une commission ad hoc du Ministère de la Culture. C’est pour le président de la République, une façon de rassembler les citoyens autour des valeurs civiques fondamentales, en mettant en avant certaines personnalités exemplaires. La famille ne peut refuser que la translation éventuelle des cendres de la personne choisie. Ce fut le cas quand le président Nicolas Sarkozy a voulu panthéoniser Albert Camus en 2009, son fils s’y est opposé.
Pour Joséphine Baker, l’Élysée a justifié son choix ainsi :“La France distingue une personnalité exceptionnelle, née américaine, ayant choisi, au nom du combat qu’elle mena toute sa vie pour la liberté et l’émancipation, la France éternelle des Lumières universelles”.
Il est aussi possible d’être panthéonisé sans être inhumé dans la crypte, on parle alors de cénotaphe (tombeau élevé symboliquement à la mémoire d’un mort et qui ne contient pas son corps). C’est le cas de Joséphine Baker dont le corps reste à Monaco. Autre exemple : le tombeau du mathématicien Condorcet est vide, sa dépouille n’ayant jamais été retrouvée. Parfois, le corps n’est pas emmené dans son intégralité. Gambetta n’a eu que son cœur de transféré. Le corps d’Aimé Césaire est inhumé en Martinique au cimetière de La Joyaux, quartier de La Meynard à Fort-de-France, etc.
D’autres hommages, sous forme d’inscriptions, sont présents au Panthéon afin d’honorer des personnalités panthéonisées qui ont marqué l’histoire de l’unité nationale. C’est par exemple le cas d’Antoine de Saint-Exupéry. Vous pouvez voir sur le pilier sud de la croisée du transept, une inscription pour honorer sa mémoire, et aussi, celle d’Henri Bergson (pilier nord), de Georges Guynemer, du général Charles Delestraint, chef de l’Armée secrète dans la Résistance .;.
Le Panthéon est un un lieu de mémoire et d’apprentissage de la citoyenneté. Une visite au Panthéon est l’occasion d’en découvrir davantage sur l’Histoire nationale, nos institutions et les hommes qui les ont faites. Une visite riche de sens que je vous encourage vivement à faire !
Princess Zaza
À propos
Rêveuse, idéaliste, curieuse et gourmande de la vie en général, j’aime partir à la découverte des nouveaux lieux gourmands et évènements culturels, mais aussi à la rencontre des gens à travers de nombreuses interviews et explorer de nouveaux horizons.
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